REGROUPEMENT FAMILIAL POUR LES MEMBRES DE LA FAMILLE DE RESSORTISSANTS NON-UE RÉSIDANT EN SUISSE

REGROUPEMENT FAMILIAL POUR LES MEMBRES DE LA FAMILLE DE RESSORTISSANTS NON UE RÉSIDANT EN SUISSE AVEC UN PERMIS L, UN PERMIS B OU UN PERMIS C
Le droit au regroupement familial des ressortissants de pays tiers en Suisse (ceux qui ne sont ni citoyens suisses ni citoyens de l'UE/AELE) est régi par la loi fédérale sur les étrangers et l'intégration (LEI). Les règles et conditions varient selon le type de permis de séjour détenu par le regroupant (L (séjour de courte durée), B (séjour) ou C (établissement)) et la nature du lien familial. Bien que le droit au regroupement familial soit reconnu, la procédure est plus restrictive que pour les citoyens suisses ou de l'UE/AELE et soumise à un contrôle rigoureux des autorités cantonales et fédérales.
Si vous êtes un ressortissant d'un pays non membre de l'UE résidant en Suisse et souhaitez faire venir votre conjoint, vos enfants ou, exceptionnellement, d'autres membres de votre famille à charge, il est essentiel de comprendre les critères juridiques que vous devez remplir. Il s'agit généralement de justifier de ressources financières suffisantes, d'un logement adapté et, dans certains cas, du respect de mesures d'intégration telles que la maîtrise de la langue ou la volonté de participer à des programmes d'intégration. Les délais de candidature et les exigences procédurales varient en fonction de votre statut de résident, de l'âge et du lien de parenté du membre de votre famille que vous souhaitez parrainer.
Chez Richmond Chambers Suisse, nous offrons des conseils juridiques spécialisés et une représentation aux ressortissants de pays tiers qui s'engagent dans la procédure de regroupement familial en Suisse. Que vous demandiez le regroupement familial avec un partenaire, un enfant ou un proche à charge, nous pouvons évaluer votre admissibilité, vous aider à réunir les documents nécessaires et vous accompagner à chaque étape du processus.
Regroupement familial pour les membres de la famille de ressortissants de pays tiers résidant légalement en Suisse avec un permis L, B ou C
Conjoints et partenaires enregistrés de ressortissants de pays tiers
Le regroupement familial des conjoints et partenaires enregistrés de ressortissants de pays tiers est régi par les articles 43 à 45 de la FNIA. Ces dispositions permettent aux personnes titulaires d'un titre de court séjour, de résidence ou d'établissement d'être rejointes par leur partenaire légalement marié ou enregistré, sous réserve de remplir des conditions spécifiques.
La relation doit être juridiquement valable, continue et non contractée à des fins d'immigration. Le couple doit avoir l'intention de vivre ensemble dans un foyer commun en Suisse. Les autorités exigeront la présentation d'un certificat de mariage ou de partenariat enregistré valide, ainsi que de documents prouvant l'intention de cohabitation, comme un contrat de colocation ou une attestation de cohabitation.
Le parrain doit être en mesure d'héberger convenablement le membre de sa famille, conformément aux normes cantonales en matière de logement, et doit justifier de moyens financiers suffisants pour subvenir aux besoins du partenaire réuni. Cela implique de fournir des fiches de salaire, des contrats de travail, des déclarations fiscales et, éventuellement, des justificatifs d'épargne ou d'autres sources de revenus. Les autorités évaluent la suffisance financière en fonction du coût de la vie local et de la taille du ménage, bien qu'il n'existe pas de seuil de revenu universel.
De plus, le conjoint entrant peut être tenu de démontrer un niveau minimum de compétence linguistique. En vertu des dispositions révisées de la LFEI de 2019, les ressortissants de pays tiers souhaitant bénéficier du regroupement familial peuvent être tenus de justifier d'une maîtrise orale de niveau A1 de la langue locale (allemand, français ou italien) au moment de la demande, ou de s'engager à l'acquérir peu après leur arrivée. Cette exigence est mise en œuvre par le biais d'accords d'intégration conclus avec les autorités cantonales, et les certificats acceptés comprennent le passeport linguistique de la FIDE et les diplômes internationaux reconnus.
Une fois la demande approuvée, le conjoint reçoit généralement un permis B s'il rejoint un titulaire de permis B ou C, ou un permis L en cas de regroupement familial avec un résident de courte durée. Ce permis inclut généralement le droit de travailler. Le permis de séjour est généralement valable un an et renouvelable chaque année, sous réserve du maintien du lien conjugal et du respect des obligations d'intégration.
Après cinq ans de résidence continue, le conjoint étranger peut demander un permis C, sous réserve de remplir les conditions de langue et d'intégration. Cependant, cette demande n'est pas automatique et dépend de la situation personnelle du conjoint, notamment de l'absence d'aide sociale, de la bonne conduite et de la stabilité de son historique de résidence.
Les demandes doivent être déposées auprès de l'office cantonal des migrations du lieu de résidence du garant. Si le conjoint réside à l'étranger, la procédure de demande doit être initiée par l'intermédiaire de la représentation suisse compétente, et le demandeur peut être convoqué à un entretien de visa. Les délais de traitement varient, mais se situent généralement entre deux et six mois selon le canton et la complexité du dossier.
Chez Richmond Chambers Suisse, nous sommes spécialisés dans l'accompagnement des conjoints et partenaires enregistrés de ressortissants de pays tiers en vue de leur regroupement familial en Suisse, conformément aux articles 43 à 45 de la LENI. Nous offrons des conseils clairs et experts sur toutes les exigences légales, notamment en matière d'autonomie financière, de normes d'hébergement et de justificatifs d'une relation durable et valable.
Notre équipe peut vous aider à préparer un dossier solide et bien documenté, en veillant à ce que tous les documents justificatifs – tels que les certificats de mariage ou de partenariat, les contrats de location, les fiches de paie et les relevés fiscaux – soient complets, exacts et convaincants. Si des exigences linguistiques s'appliquent, nous pouvons vous conseiller sur les certificats de niveau A1 reconnus ou vous accompagner dans le respect des obligations d'intégration grâce à des accords reconnus avec les autorités cantonales.
Si des complications surviennent, comme des questions sur l’authenticité de la relation,
Documents manquants ou retards dus aux procédures cantonales - nous vous proposons des solutions juridiques pratiques et pouvons vous représenter dans vos démarches auprès de l'office des migrations ou dans le cadre d'un recours en cas de refus.
Grâce à une connaissance approfondie du droit suisse de l'immigration et à une vaste expérience dans plusieurs cantons, nous sommes bien placés pour vous accompagner à chaque étape de votre parcours de regroupement familial.
Partenaires non mariés de ressortissants de pays tiers
Le droit suisse ne prévoit généralement pas de droit au regroupement familial pour les partenaires non mariés ou de fait de ressortissants de pays tiers. Toutefois, dans des circonstances exceptionnelles, le séjour peut être accordé pour des raisons humanitaires ou de difficultés personnelles, en vertu des articles 30 LEI et 31 OASA. Cette voie discrétionnaire requiert un fondement factuel et probatoire solide et ne vise pas à se substituer au regroupement familial formel.
Pour être prise en considération, la relation doit être durable et présenter un degré de stabilité équivalent à celui d'un mariage ou d'un partenariat enregistré. Les autorités examineront des facteurs tels que la durée de la cohabitation, le partage des responsabilités financières, le soutien mutuel et la présence ou non d'un enfant commun. Une relation de longue date caractérisée par une interdépendance substantielle – affective, financière ou pratique – est une condition préalable à une prise en considération sérieuse.
Les demandeurs doivent fournir un dossier complet de preuves, pouvant inclure des contrats de location conjoints, des factures de services publics partagées, des relevés bancaires conjoints, des photographies, des antécédents de voyage et de la correspondance personnelle. Si la demande est fondée sur une dépendance, des évaluations médicales ou psychologiques détaillées doivent établir la nature et la gravité de la dépendance et démontrer que des solutions de prise en charge alternatives dans le pays d'origine ne sont pas viables.
Même lorsque ces critères sont remplis, la délivrance d'un permis reste discrétionnaire et soumise à l'évaluation cantonale. S'il est accordé, le permis résultant sera probablement de courte durée (permis L ou B), initialement limité à un an, et renouvelable en fonction des performances continues en matière de cohabitation et d'intégration. L'autorisation de travail peut être accordée à la discrétion des autorités cantonales du marché du travail.
En raison du caractère exceptionnel et discrétionnaire de telles demandes, il est fortement recommandé de solliciter un avis juridique spécialisé. Des observations bien argumentées et étayées par des preuves, conformes aux directives SEM et à la jurisprudence de la CEDH, sont essentielles pour maximiser les chances d'approbation.
Chez Richmond Chambers Suisse, nous sommes spécialisés dans l'accompagnement des partenaires non mariés de ressortissants de pays tiers dans leurs demandes de séjour au titre des dispositions exceptionnelles de l'article 30 de la LENI et de l'article 31 de la OASA. Nous offrons des conseils clairs et experts sur les normes juridiques et probatoires requises pour démontrer une relation durable, de type matrimonial, ou des motifs humanitaires impérieux.
Notre équipe peut vous aider à préparer un dossier solide et bien documenté, en veillant à ce que tous les documents justificatifs – tels que les contrats de colocation, les documents financiers, la correspondance personnelle, les photographies et l'historique de voyage – soient complets, crédibles et convaincants. Si la demande est fondée sur une dépendance médicale ou psychologique, nous vous accompagnerons pour obtenir des évaluations détaillées démontrant clairement la nécessité d'une cohabitation continue en Suisse.
Si des problèmes surviennent - tels que des doutes sur la gravité de la relation, une documentation insuffisante ou des interprétations cantonales complexes - nous pouvons fournir des solutions juridiques pratiques et vous représenter dans vos relations avec les autorités migratoires ou dans le cadre de l'appel d'une décision défavorable.
Grâce à une connaissance approfondie du droit suisse de l'immigration, des directives SEM et des pratiques discrétionnaires cantonales, nous sommes bien placés pour vous guider tout au long de ce processus sensible et hautement discrétionnaire, contribuant ainsi à donner à votre demande les meilleures chances de succès possibles.
Fiancés de ressortissants de pays tiers
La Suisse ne reconnaît pas les fiancés de ressortissants de pays tiers comme bénéficiaires du droit au regroupement familial. Toutefois, les ressortissants étrangers peuvent demander un visa de court séjour (visa D de préparation au mariage) pour entrer en Suisse afin d'épouser un ressortissant d'un pays tiers résidant légalement dans le pays.
Ce visa est généralement valable 90 jours et permet au demandeur de résider légalement en Suisse pour effectuer les formalités de mariage. La procédure commence par l'enregistrement conjoint de l'intention de mariage auprès de l'état civil du canton de résidence du demandeur. L'état civil vérifiera la capacité juridique du couple à se marier et délivrera une confirmation une fois toutes les pièces justificatives remplies.
La demande de visa doit être accompagnée d'une preuve du mariage envisagé, y compris la confirmation de l'état civil, ainsi que d'une preuve de l'authenticité de la relation et de la capacité du sponsor à fournir un logement et un soutien financier pendant le séjour du demandeur.
Une fois le mariage célébré dans le délai de 90 jours, le conjoint étranger doit demander un permis de séjour conformément à l'article 43 de la LEIP. La transition du visa au permis de séjour implique l'enregistrement du mariage auprès de l'office cantonal des migrations et le dépôt d'une demande complète comprenant l'acte de mariage, la preuve de la vie commune, les documents financiers et, si nécessaire, les compétences linguistiques.
Si le mariage n'est pas célébré pendant la durée du visa ou si le demandeur dépasse la durée de séjour autorisée, il risque d'être expulsé et de se voir interdire l'entrée sur le territoire. Par conséquent, une planification minutieuse, le respect des lois et la soumission des documents dans les délais sont essentiels à la réussite du mariage.
Chez Richmond Chambers Suisse, nous accompagnons les ressortissants de pays tiers et leur(s) fiancé(s) dans les démarches légales pour entrer en Suisse afin de se marier et obtenir un permis de séjour. Bien que les fiancé(s) ne bénéficient pas du droit au regroupement familial, nous pouvons vous conseiller sur l'obtention d'un visa de préparation au mariage et sur les exigences légales du droit suisse de l'immigration.
Notre équipe peut vous aider à préparer une demande de visa claire et bien étayée, en veillant à ce que tous les documents requis – y compris l'attestation d'état civil, la preuve d'hébergement, le soutien financier et l'authenticité de la relation – soient complets, exacts et convaincants. Nous pouvons également vous conseiller sur les démarches d'état civil et vous aider à vous assurer que les deux parties remplissent les conditions de capacité juridique pour se marier en Suisse.
Une fois le mariage célébré, nous vous accompagnons dans la procédure d'obtention d'un permis de séjour au titre de l'article 43 de la FNIA. Cela comprend la préparation d'une demande de permis détaillée comprenant l'acte de mariage, les justificatifs de cohabitation, les documents financiers et, si nécessaire, les certificats de compétences linguistiques.
Si des problèmes surviennent - tels que des retards dans l'enregistrement du mariage, des questions sur la relation ou des préoccupations concernant la conformité - nous pouvons proposer des solutions juridiques pratiques et assurer la liaison avec les autorités cantonales pour protéger vos droits et éviter des conséquences négatives telles que l'expiration du visa ou l'interdiction de rentrée.
Grâce à une connaissance approfondie du droit suisse de l'immigration et à notre expérience dans la gestion des processus de visa et de permis post-mariage, nous sommes bien placés pour vous accompagner à chaque étape de votre parcours vers la construction d'une vie commune en Suisse.
Enfants mineurs de ressortissants de pays tiers
Le regroupement familial des enfants mineurs est prévu par l'article 43(1)(c) et l'article 44 de la FNIA, et s'applique aux enfants de moins de 18 ans non mariés. Le parent parrain doit être titulaire d'un permis B ou C, ou, dans certains cas, d'un permis L d'une durée suffisante pour justifier le regroupement.
L'enfant doit avoir l'intention de résider avec son parent en Suisse. Le garant doit justifier d'un logement adéquat et de moyens financiers suffisants pour subvenir aux besoins de l'enfant sans recourir à l'aide sociale. Les documents requis comprennent généralement l'acte de naissance de l'enfant, les documents de garde ou de tutelle (le cas échéant) et une preuve de prise en charge ou de contact continus lorsque l'enfant a vécu séparément pendant un certain temps.
Les demandes doivent être déposées dans les cinq ans suivant l'acquisition du domicile du garant en Suisse ou, pour les enfants de plus de 12 ans, dans les douze mois suivant leur douzième anniversaire.
Les demandes présentées en dehors de ces délais sont considérées comme tardives et peuvent être rejetées, à moins que le sponsor ne puisse démontrer un retard justifié ou que le refus entraînerait des difficultés disproportionnées contraires à l'article 8 de la CEDH.
À leur arrivée, les enfants doivent être inscrits sans délai dans une école suisse. L'intégration au système éducatif est obligatoire, et les cantons proposent généralement un soutien linguistique et des programmes d'intégration spécifiques. Le respect de la scolarité et la coopération avec les services d'intégration sont essentiels pour la poursuite du séjour.
L'enfant bénéficie généralement du même type de permis que le parent parrain. Par exemple, si le parent est titulaire d'un permis B, l'enfant recevra également un permis B. Ces permis incluent généralement le droit à l'éducation et, pour les adolescents plus âgés, l'accès éventuel à une formation professionnelle.
Chez Richmond Chambers Suisse, nous assistons les ressortissants de pays tiers résidant en Suisse dans leurs demandes de regroupement familial pour leurs enfants mineurs, conformément aux articles 43 et 44 de la LEI. Nous offrons des conseils clairs et experts sur les exigences légales, les normes de preuve et les délais de traitement des demandes pour faire venir leurs enfants en Suisse.
Notre équipe peut vous aider à préparer un dossier solide et bien documenté, en veillant à ce que tous les documents justificatifs (actes de naissance, documents de garde, justificatifs financiers et justificatifs d'hébergement) soient complets, exacts et convaincants. Si l'enfant vit séparément depuis longtemps, nous pouvons vous aider à établir des registres de contacts et de soutien parental continus afin de démontrer la continuité des liens familiaux.
Nous conseillons également sur les délais critiques pour les demandes de réunification et fournissons des solutions juridiques stratégiques si la demande est soumise en retard ou s'il existe des inquiétudes concernant les difficultés ou le respect de l'article 8 de la CEDH.
Grâce à une connaissance approfondie du droit suisse de l'immigration, des attentes cantonales en matière d'intégration et des réalités pratiques de la vie de famille, nous sommes bien placés pour vous aider à garantir le séjour légal et l'avenir éducatif de votre enfant en Suisse.
Parents adultes à charge de ressortissants de pays tiers
Le regroupement familial avec des parents adultes à charge, tels que des parents âgés ou des enfants majeurs, n'est autorisé, en vertu de l'article 44 de la LENI, qu'en cas de difficultés personnelles graves. Cette disposition est interprétée de manière restrictive et vise à s'appliquer dans des circonstances exceptionnelles où le demandeur ne peut être pris en charge dans son pays d'origine et dépend réellement du soutien de son proche résidant en Suisse.
Le demandeur doit démontrer un niveau élevé de dépendance, généralement lié à l'âge, à un handicap, à une maladie chronique ou à d'autres facteurs de santé. Les preuves doivent comprendre des rapports médicaux, des déclarations de professionnels de santé, une preuve d'absence de soins en institution dans le pays d'origine et des déclarations d'autres membres de la famille confirmant leur incapacité à fournir une assistance.
De plus, le répondant doit démontrer qu'il entretient une relation de soutien substantielle avec le demandeur. Cela peut se traduire par un soutien financier antérieur, des visites de soutien ou une coordination transfrontalière des soins. Les liens affectifs seuls ne suffisent pas ; le répondant doit jouer un rôle actif et indispensable dans le bien-être du proche.
Si la demande est approuvée, le proche se voit généralement accorder un permis de séjour assorti de conditions strictes, telles qu'une validité limitée, des restrictions géographiques ou une surveillance médicale continue. Dans de nombreux cas, seul un statut provisoire ou humanitaire est accordé, plutôt qu'un permis de séjour complet.
Compte tenu de la rareté des résultats positifs et de la rigueur des preuves requises, les demandes présentées dans ce cadre doivent être préparées avec l'aide d'un avocat professionnel. Les arguments fondés sur l'article 8 de la CEDH et les obligations de la Suisse en vertu du droit international doivent être soigneusement formulés afin de démontrer qu'un refus entraînerait une ingérence injustifiée dans la vie familiale.
Chez Richmond Chambers Suisse, nous accompagnons les ressortissants de pays tiers souhaitant retrouver des proches adultes à charge, tels que des parents âgés, en vertu des dispositions exceptionnelles de l'article 44 de la LENI. Nous offrons des conseils clairs et experts pour vous guider dans cette voie d'immigration restrictive et hautement discrétionnaire.
Notre équipe peut vous aider à préparer une demande détaillée et bien étayée, en veillant à ce que tous les justificatifs – tels que les rapports médicaux, les bilans de santé, les déclarations des professionnels de santé et les déclarations des autres proches – soient complets, exacts et convaincants. Nous pouvons également démontrer le rôle actif du parrain en fournissant des preuves de soutien financier, de coordination des soins et d'implication continue dans le bien-être du demandeur. Le cas échéant, nous pouvons rédiger des observations juridiques fondées sur l'article 8 de la CEDH et les obligations internationales pertinentes afin de souligner la nécessité humanitaire du regroupement familial et les difficultés disproportionnées qu'un refus entraînerait.
Si votre demande est approuvée, nous vous accompagnons dans la compréhension et le respect des conditions du permis de séjour, qu'il soit provisoire, humanitaire ou soumis à un suivi médical. En cas de refus, nous vous conseillons sur les options de recours et vous représentons tout au long de la procédure.
Forts d'une grande expérience dans le traitement de dossiers complexes et discrétionnaires de regroupement familial, nous sommes bien placés pour vous guider tout au long de ce processus difficile et vous aider à constituer le dossier le plus solide possible pour le regroupement avec un membre adulte de la famille à charge en Suisse.
Comment Richmond Chambers Suisse peut vous aider
Chez Richmond Chambers Suisse, nous sommes spécialisés dans l'accompagnement des ressortissants de pays tiers dans le processus complexe et souvent exigeant du regroupement familial en Suisse. Que vous souhaitiez faire venir votre conjoint, votre partenaire non marié(e), votre fiancé(e), votre enfant mineur ou un parent adulte à charge, nous vous proposons un accompagnement clair et expert, adapté à votre statut de résident (permis L, B ou C) et à la situation personnelle de votre famille.
Nous aidons nos clients avec :
Évaluation de l'éligibilité en vertu des dispositions pertinentes de la loi fédérale sur les étrangers et l'intégration (LEI) et des lois d'appui ;
Préparer des dossiers solides et bien documentés , en veillant à ce que toutes les preuves - qu'elles soient liées aux moyens financiers, au logement, aux relations familiales, à la cohabitation ou à la dépendance médicale - soient complètes, exactes et conformes aux attentes cantonales et fédérales ;
Conseils sur les exigences d'intégration et de langue , y compris les orientations sur les certificats reconnus et le respect des accords d'intégration cantonaux ;
Fournir des solutions juridiques stratégiques pour les demandes complexes ou discrétionnaires, telles que celles impliquant des motifs humanitaires, des partenaires non mariés ou des soumissions tardives ;
Vous accompagner après la réunification , notamment pour l'inscription scolaire, l'aide à l'intégration et les transitions entre les permis de courte durée ou provisoires et les séjours de longue durée.
En cas de retard, de refus ou de contrôle supplémentaire des demandes, nous représentons nos clients dans toutes leurs communications avec les autorités cantonales et leur apportons une assistance juridique tout au long de la procédure de recours. Notre équipe connaît parfaitement les différences pratiques entre les cantons, l'évolution des interprétations des Directives SEM et l'importance de l'article 8 de la CEDH dans les cas de difficultés personnelles ou de liens familiaux de longue date.
Pour des conseils juridiques personnalisés et une représentation experte dans votre demande de regroupement familial suisse, appelez nos avocats spécialisés en immigration suisse au +41 21 588 07 70 ou remplissez le formulaire de demande ci-dessous.
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